Marilo: Expériences Libertines

Cela fait déjà un mois que nous ne sommes pas sortis en club. Entre les fêtes de fin d’année en famille et divers empêchement de début janvier, impossible de se rendre disponibles plus tôt. Alors même si nous devons sortir le lendemain pour notre première soirée privée, nous brûlons d’impatience de retrouver l’Acanthus ce soir là.

Notre envie de retrouver notre club est également renforcée par la curiosité de savoir ce qui s’y passe. En effet depuis le début de l’année, c’est le black out total sur le forum Nous75 qui permet d’habitude aux habitués de l’Acanthus de se retrouver. Black out également sur le site de l’Acanthus qui n’est plus mis à jour et qui est revenu à l’ancienne version. Nous apprenons finalement que Pat ne fait plus parti du club ce qui nous attriste mais n’attenu pas notre curiosité.

Nous arrivons tôt comme d’habitude. Nous sommes accueillis par Marc, tout sourire et très sympathique à l’entrée, puis rejoignons le hall où ma chérie change de chaussure avant de rejoindre le vestiaire où nous confions nos manteaux et notre sac de club à Virginie. Celle-ci nous informe des changements dans le club et notamment de l’éviction de Pat que nous déplorons.

Nous rejoignons le bar pour prendre un apéritif seuls. Que de différences depuis la dernière soirée de la planète : la soirée mère noël. Il n’y a que très peu de visages connus et personne que nous connaissons vraiment. C’est donc également seuls que nous rejoignons le restaurant, espérant y faire, comme c’est souvent le cas, de nouvelles connaissances. Ce n’est pas non plus le cas.

Nous rejoignons ensuite la salle pour prendre un café et attendre que l’Acanthus se remplisse un peu pour que nous y retrouvions l’ambiance de fête que nous aimons tant. En l’absence de la planète, nous nous sentons moins dans « notre club » mais nous espérons tout de même que la magie du dance floor opérera. Ce n’est pas le cas. Et même notre Mymy parait toute triste.

Après un moment passé dans la salle, nous nous dirigeons vers les coins câlins de l’étage. Sur le grand lit avec barreaux, deux couples sont entourés de très nombreux garçons. Je m’arrête contre les barreaux pour regarder avec ma chérie. La situation ressemble à un début de gang-bang et mon amour m’a déjà dit plusieurs fois qu’elle aimerait en voir un. L’homme de l’un des couples prend sa femme en missionnaire alors qu’un homme lui caresse la poitrine et lui présente son sexe à sucer. La femme de l’autre couple s’est placée à quatre pattes dos à la circulation pour se faire prendre par derrière tout en faisant une fellation à son homme. Plusieurs hommes sont derrière elle, certains lui prodiguent des caresses, d’autres se chauffent, un autre commence à la baiser. Nous regardons le tableau, y cherchant l’excitation. Nous ne sommes pas particulièrement voyeurs et, en général, ma chérie passe vite son chemin dans ce genre de situation, si elle ne trouve pas où se placer dans la scène qu’elle regarde. Un homme s’approche alors de nous et commence à cajoler le dos de Marie.

Je tiens ma chérie dans mes bras et je remarque aussitôt l’intrusion par le mouvement qu’elle a, réponse à une caresse qui n’est pas la mienne, ni accord ni refus. Elle ne l’a pas vu et attend simplement mon accord. L’homme également : il me regarde – j’acquiesce. Les câlineries sur ma chérie se multiplient alors, qu’elles soient prodiguées par cet inconnu ou par moi-même qui suis de plus en plus excité par la situation. Marie ne veut pas voir l’homme pour s’en remettre totalement à moi et elle se love dans mes bras, lui tournant le dos.

Je l’embrasse longuement en tenant son visage dans mes mains pour qu’elle ressente que les mains qui parcourent ses seins, ses cuisses, sa chatte ou ses fesses ne sont pas les miennes. Ma chérie est très excitée, elle entreprend également de me toucher et peut ainsi constater que la situation m’est agréable.

J’ai très envie d’aller plus loin mais ce n’est guère facile alors que nous sommes debout dans un couloir. D’un côté, un grand lit déjà occupé et de l’autre côté une simple banquette qui ne nous permettrait pas de nous isoler pour un trio tranquille tel que nous le souhaitons. Il ne me parait pas souhaitable pour autant d’aller trop loin et de rompre le charme. Je décide alors d’entrainer Marie sur la banquette face à nous. Notre partenaire nous suit. En montant sur la banquette, je remarque que celle-ci débouche sur un recoin de 1m sur 3, fermé sur trois côtés dont les plus grands. Génial, c’est exactement ce qu’il nous fallait et je m’étonne de ne pas avoir encore remarqué ce petit coin si pratique malgré nos nombreuses soirées à l’Acanthus.

Je m’arrête à l’entrée de l’alcôve pour laissée passer ma chérie. Je croise son regard et je lis dans celui-ci qu’elle apprécie également la découverte. Marie s’allonge alors que je reste agenouillé au niveau de ses jambes, les caressant  en compagnie de l’homme qui nous a suivis. Notre position nous permet de contrôler le passage étroit et d’empêcher les autres hommes de trop s’approcher. En fait après avoir repoussé les caresses des premiers hommes, ceux-ci n’insistent pas et s’installent pour mater, nous protégeant  encore des suivants de tel sorte que nous sommes très vite à l’aise.

Ma chérie est très excitée et ondule sous nos mains qui remontent le long de ses jambes jusqu’à son sexe. Nos doigts se font chaque fois plus intrusifs dans son con. Nous remontons depuis l’intérieur de chacune de ses cuisses, écartant de plus en plus celles-ci. Le joli string noir nous gênant, je lui enlève doucement et le met à l’abri dans ma poche. Mon partenaire peut alors s’occuper pleinement du clitoris de Marie. Il s’approche pour la lécher. Je l’arrête et m’approche de son oreille pour lui indiquer nos règles – pas de problème, il acquiesce et continu de prodiguer du plaisir à ma chérie de ses doigts. J’en profite pour continuer le déshabillage de ma belle qui se laisse faire nonchalamment, comme dans un état second, pleinement offerte.

Je remonte alors le long du corps de ma chérie pour m’occuper de ses seins. Je suis agenouillé près d’elle à la dorloter ainsi lorsqu’elle entreprend de déboutonner mon pantalon et de me caresser. L’homme continu à s’occuper d’elle tandis qu’elle s’occupe de moi, développant mon érection avant d’engloutir ma verge dans sa bouche. Je déguste quelque temps la situation mais préfère l’interrompre un instant, pour me déshabiller totalement. Ma chérie reste en de bonnes mains pendant que je me dévêts lentement. Il est agréable pour moi de la voir ainsi entreprise, prolongeant la situation érotique pendant que je me déshabille (instant souvent délicat dans les rapports classique).

Lorsque je suis prêt, mes mains reviennent délicatement titiller le clitoris de mon amour. Notre partenaire de jeu s’écarte alors quelque peu pour me laisser la place et se déshabiller à son tour. J’en profite pour me régaler de la mouille de mon amour, lui prodiguant un cunnilingus gourmand. L’homme se déshabille sans empressement en regardant ma chérie frémir sous ma langue. Lorsqu’il est prêt, il s’agenouille de l’autre côté de Marie et il entreprend de lui caresser les seins pendant que je continu de titiller de ma langue le sexe de ma chérie. Marie empoigne alors le sexe de cet inconnu. Pour la première fois, elle s’occupe d’une autre bite que la mienne en ma présence et lorsque je relève la tête je constate que l’homme bande très dur sous les caresses de ma chérie, j’ai envie qu’il la pénètre. Je me redresse et me mets à genoux. Je viens me placer prêt de la bouche de ma femme pour qu’elle me suce, tout en lui permettant de continuer ses caresses à l’autre homme qui en a profité pour déplacer ses attention des seins de ma chérie à sa chattes de plus en plus en feu.

Je me rapproche à genoux de la tête de mon amour et lorsque ma bite est à portée de sa bouche, elle la prend entièrement entre ses lèvres. Tout en dégustant cette fellation, je récupère alors un préservatif dans mon pantalon que je tends à notre partenaire de jeux. Le signal lui est donné, il m’échange un regard reconnaissant. Après avoir passé le condom sur son sexe raidi, il se place face à ma chérie en missionnaire pour l’enconner. Elle continue de me sucer agréablement pendant tout ce temps, arrivant miraculeusement à garder sa concentration. Alors que l’homme commence à aller et venir en elle, je m’allonge plus avant dans l’alcôve. Marie me suce de plus en plus avidement ce qui tend à la faire se retourner. Ce n’est pas pour déplaire à notre nouvel ami qui la prend alors en levrette. Il jouit alors rapidement et se retire. Ma chérie est trop excitée pour s’en satisfaire et vient alors s’empaler sur mon sexe. Je remarque alors que le plafond est orné d’un miroir, et je nous regarde faire l’amour ensemble et jouir rapidement sous le regard doux de notre invité.

Après nos ébats, nous prenons une douche revigorante, suivie d’une coupe de champagne. Nous dansons un peu puis nous asseyons prêt de la piste de dance, plutôt calme ce soir là. Un homme nous a abordé plusieurs fois ce soir là de manière sympathique. Mais je préfère les hommes qui parlent peu alors je n’ai pas relevé. Alors que nous buvons notre verre, il nous rejoint et nous explique qu’il est candauliste, que sa femme (il nous désigne un des coins câlins) est là avec un autre… Cette situation l’excite énormément. Le discours nous amuse et l’homme repart. Notre intérêt est alors porté sur un jeune black qui se place prêt de nous, de plus en plus prêt, mais sans un mot.

Notre excitation revient vite et nous faisons le tour des coins câlins plusieurs fois, d’autant plus que la piste de danse est plutôt désertée ce soir-là.

Nous nous installons juste à l’entrée des coins câlin de l’étage, dans l’angle, avec de nouveaux verres. Je ne tarde pas pour autant à caresser et embrasser ma chérie dont l’excitation a peu baissée depuis nos derniers ébats. Le jeune black nous rejoint très vite, mais je le rejette. Mauvais moment car alors il n’est pas seul et nous ne souhaitons rien d’autre que des trios. Le fait d’avoir écarté cet homme, qui fait un peu figure d’étalon dans le club, fait place nette. Nous nous retrouvons tous les deux à cet angle de canapés où ma chérie me suce tandis que je la caresse. Un homme s’approche lentement des pieds de mon amour et le contre-jour m’empêche de le voir. Et de toute façon je me moque un peu de savoir de qui il s’agit, je le laisse approcher et continu de me laisser sucer. Les mains de l’homme s’attardent sur les pieds de ma belle, lentement, découvrant chaque parcelle de ses jambes, ses doigts remontent le long de ses cuisses, déjà très ouvertes, il atteint le but. Il récupère rapidement un préservatif dans sa poche avant de la prendre. Quelques va-et-vient vigoureux font jouir ma chérie et cet homme. Le moment, bien que furtif, s’est avéré très agréable pour moi aussi.

Pendant que nous prenons notre douche et que j’explique à Marie que je n’ai pas vu de qui il s’agissait (même si j’ai mon idée), elle m’explique qu’elle l’a reconnu à son parfum. Il s’agit de notre candauliste qui a finalement décidé de passer à l’acte, lui aussi !

Notre soirée ayant été bien remplie par deux trios pour une première, nous décidons de rentrer d’autant plus que nous sommes très excités par la soirée prévue le lendemain.