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Mercredi 7 septembre 3 07 /09 /Sep 21:26

Ce matin je me réveille, emplie de désirs. Mes doigts parcourent distraitement mon sexe. Je te regarde. Tu dors paisiblement. Je me tourne vers toi et frotte mes seins déjà tendus d’envie contre ta peau douce et tiède. Tu ne bouges pas. Ma main quitte mon sexe pour aller chercher le tien. Je colle ma chate contre ta jambe. A peine ai-je commencé à effleurer ton vit qu’il réagit. Tes yeux s’entrouvrent, tu me souris. Je t’embrasse en te disant : « j’ai envie de toi ». Tes mains cherchent mon sexe et le trouve déjà humide. Avec la dextérité d’un expert, tu titilles mon clitoris tout en caressant mon point G et m’amène à la jouissance une première fois. Ton sexe est maintenant bien dur et bien droit. Tu me tournes sur le côté, saisi mes hanches fermement et me pénètre doucement et profondément. Je sens ton gland fouiller mon antre. C’est si délicieux : « vas-y prend moi fort ». Tes vas-et-viens sont maintenant rapides mais toujours aussi profonds. Tu ne me laisses pas de répit. Ta main gauche s’occupe de mon petit bouton. Je sens une nouvelle jouissance arriver : « Ne t’arrête pas mon amour ! ». Je jouie en sentant un flot se répandre dans mon sexe et couler entre mes jambes. Cela ira bien en guise de réveil. D’une main tu saisies une poignée de mes cheveux, de l’autre tu me maintiens fermement les hanches : « je vais jouir ». Tes assauts se font de plus en plus rapides et vigoureux, presque violents. Je n’en peux plus, j’alète, je crie, je jouis. Dans un dernier coup de rein, tu me rejoints dans mon orgasme. C’est fini, je me blottis contre toi : « aujourd’hui, je serai ton objet sexuel, je resterai nue afin que tu puisses me prendre quand bon te semblera ». Tu cèles le marché d’un baiser.

 

Nous dégustons notre petit déjeuner langoureusement installés dans le canapé. Tout en buvant ton café, tes doigts ne cessent de parcourir mon corps. Chaque partie est explorée. Tu me regardes les yeux gourmands. Mon excitation est toujours aussi présente. Tu sais que j’ai envie, encore, de te sentir au creux de moi, mais tu laisses monter encore le désir. Ton doigt se pose enfin sur mon clitoris, m’électrise. J’écarte les jambes, t’invitant à venir plus profond. Sans cesser de caresser mon grain de café, de ton autre main tu fouilles mon vagin. Tes lèvres se posent sur mes seins, ta langue joue avec mes tétons. En quelques minutes, je jouis une nouvelle fois.

 

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Te laissant boire tranquillement un autre café, je vais à la cuisine, finir le brin de vaisselle laissé de notre réception de la veille. Nue devant l’évier, je m’applique sur les verres. Tu me rejoints. Dans mon dos, je sens ton souffle, tes lèvres. Autour de ma taille tes mains me caressent. Tu m’embrasses le cou, les épaules. Tu pelotes mes seins. Je frotte mes fesses contre ton sexe. L’une de tes mains descend le long de mon corps, frôle mon postérieur, s’attarde quelques secondes sur ma rondelle et finalement plonge dans mon sexe trempé : « si je te faisais faire fontaine, comme ça, debout dans la cuisine ». Comme seule réponse, j’écarte un peu plus les jambes afin de te laisser toute ton aise pour la manœuvre. Tes doigts pilonnent mon point G, tu es toujours agrippé à l’un de mes seins. Je me courbe sur l’évier, accrochée au robinet pour ne pas m’effondrer, submergée de plaisir. Lorsque tu me sens jouir, tu continues à bombarder mon sexe de tes assauts pour voir le liquide jaillir. Prise de tremblements, je ne contrôle plus rien. Mes mains lâchent le robinet, mes jambes se dérobent. Tu me retiens, enfonçant un peu plus tes doigts en moi. Dans un dernier cri, je capitule.

 

Nous passons à la salle de bain. Je me glisse dans un bain bien chaud. Je suis à la fois repue de sexe, mais toujours dans l’envie de ce plaisir. Je te regarde te raser. Voilà, tu viens enfin me rejoindre dans la mousse. Tes mains parcourent mon dos pour un massage langoureux et doux. Il faudra bien me résoudre à abandonner ce doux contact pourtant et sortir de l’eau. Je me lave sous ton regard appuyé. L’excitation ne cesse pas. Je me dis qu’en sortant du bain, je vais t’attendre dans le lit et jouer avec un de mes vibromasseurs. Je me rince, je me sèche. J’aime que tu me regardes. Je me brosse les dents. Tu rapproches mes fesses de toi : « Brosse-toi bien les dents, ma chérie ». Et sans plus attendre, tes doigts s’enfoncent vigoureusement dans mon sexe. Je laisse échapper un cri. J’écarte un peu plus les jambes pour te permettre d’aller bien au fond : « Ca fait longtemps que je ne t’ai pas fisté ». Je te regarde. Je me cambre un peu plus sur le lavabo, je pose un pied sur le bord de la baignoire. Je suis tellement excitée que la mouille coule partout, enduit complètement ta main. Tu me pénètre de celle-ci avec vigueur. Je crie de plaisir. Tu ressorts, tu visites un peu mon petit trou pour revenir en force devant. Accrochée au lavabo, je jouie encore. Tu te lèves dans la baignoire, tu présentes ta queue bien raide à l’entrée de mon con, mais te ravises. Tu me redresses, me tournes vers toi, tout en appuyant sur ma tête : « suce-moi ». Je m’agenouille et te lèche avec délectation. Ton sexe est gonflé, je sens ton gland battre au fond de ma gorge, c’est délicieux. Tu sors ton sexe de ma bouche, tu maintiens mon visage d’une main, de l’autre tu te branles. Ma bouche reste grande ouverte, ma main va fouiller mon sexe. Quel plaisir lorsque je sens ta jouissance jaillir et s’étaler sur mon visage, couler dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge.

 

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Après un petit brin de toilette, je t’attends au lit. Je patiente en compagnie de mon vibro. Tu arrives au moment où il m’arrache quelques cris. Lorsque tu entres dans la chambre : « il faut aller acheter le pain ». Tu montes sur le lit, te glisse entre mes jambes, tu écartes mon sextoy : « on ne mangera pas de pain » et tu enfouies ta langue dans ma chate. Tu lèches mon joyau, tu me pénètres de ta langue, tu vas chercher jusqu’à mon anus. Ton nez appuie sur mon clitoris. Je n’en peux plus, je jouie sous la pression de ta bouche. Mais tu me connais, tu sais ce que je veux pour clore ce bonheur : « viens, viens ». Tu te dresses devant et me pénètre d’un grand coup de rein. Bien calé entre mes jambes, tu me baises vigoureusement. Je sens monter une nouvelle jouissance au rythme du balancement de tes fesses entre mes cuisses. Un cri et mon sexe est de nouveau inondé. Tu t’effondres sur moi. Cette fois les membres sont lourds et le cerveau embrumé.

 

Nous nous levons pour rejoindre la douche, espérant celle-ci revigorante. La faim se fait sentir. Je prépare quelques légumes. Nous déjeunons en badinant de la sortie de ce soir, de nos rendez-vous. Après la courte nuit de la veille et la matinée de jouissance que j’ai passée, je suis épuisée. Envie d’aller me lover dans tes bras pour une sieste réparatrice. Je te demande une trêve à notre marché. Tu me souris sans me répondre. Nous nous glissons dans le lit. Ton corps contre le mien. S’en est trop, la trêve n’est pas pour tout de suite : « en fait, j’ai quand même envie de toi avant de dormir ». Je me hisse sur toi. Je saisi ton sexe encore endormi, le frotte contre le mien et jusqu’à mon petit trou. Il ne te faut pas très longtemps pour retrouver de la vigueur. Je m’empale sur toi. Je commence mes vas-et-viens, doucement, couchée sur ton torse. L’excitation me donne des envies plus torrides et toi aussi : « tu pourrais faire fontaine sur moi ». Alors je me redresse, en position accroupie, les bras tendus en appui vers l’arrière, cette fois les vas-et-viens sont rapides et aussi forts que je peux. Tu maintiens mes fesses pour m’aider. Quelques minutes dans cette position, mon cœur s’emballe, la tension dans mon bas ventre est insoutenable, je crie, je jouie. C’est ce moment que tu choisis pour m’écarter les fesses et présenter ton dard devant mon petit trou. Doucement, je m’appuie contre ton sexe tout enduit de cyprine. Lentement, je le sens pénétrer dans mon fondement dans toute sa longueur. A genou, je surélève mes fesses afin de te laisser libre de tes mouvements. Tu commences les ondulations du bassin. Dès le premier mouvement, je sens cet autre plaisir monter en moi. Mon sexe coule sur ton pubis. Tes mouvements de bassin se font plus rapides, plus forts. Accrochée aux barreaux du lit, je me laisse aller à l’orgasme. Lorsqu’enfin tu cesses, satisfait, je m’écroule pour rejoindre directement les bras de Morphée.

 

Après un repos bien mérité, c’est déjà l’heure de se faire une beauté avant notre sortie en club. Pour la première fois de la journée, j’enfile une robe, en dentelle blanche, je n’ai pas l’impression d’être beaucoup plus vêtue que durant le reste de la journée. D’autant que cette robe ne supporte aucun sous-vêtement. tu es très excité à l’idée que je parte dans cette tenue de la maison pour aller en club et revenir. Nous sirotons une vodka redbull avant de partir. Le ciel s’est couvert et il s’est mis à pleuvoir. Voilà qui va justifier ma sortie de la maison en imperméable aux yeux des voisins si je viens à en croiser un. Une fois revêtu mon imperméable noir, je m’engouffre dans la voiture. A peine en route, tu écartes les pans de ce manteau qui t’empêche de distinguer mes jambes et l’ombre de mon sexe à travers la transparence de la dentelle.

 

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Nous arrivons au club, où nous retrouvons des amis. Le diner se déroule en compagnie de deux autres couples, dont l’un très mignon et drôle nous attire énormément. Après avoir esquissé quelques pas de danse ensemble, je m’assieds pour déguster une coupe tout en te regardant danser, approcher les femmes sur la piste, leur tourner autour, jauger l’attirance qu’elles peuvent avoir pour toi. Ton manège m’excite. Je viens te retrouver et nous montons à l’étage à la recherche de plaisirs charnels. Nous voyons bien le couple qui nous intéresse, mais ils sont installés dans un endroit où il est difficile d’être quatre. Toutes les autres alcôves sont occupées. Peu importe, nous attendrons un instant plus propice. Encore un moment de danse, de vieux amis nous rejoignent tandis que l’autre couple de nos amis s’en va. Papotages et danse nous empêchent de voir les heures filer. Nous ne pouvons partir sans voir ce qui se passe dans les coins câlins. Impossible de retrouver ce petit couple qui nous plait tant. Nous décidons de rentrer.

 

Le chemin du retour passe tranquillement. Je suis abandonnée sur le fauteuil passager. Tu profites du calme de la route pour de tendres caresses sur mes cuisses. Une fois rentrés, nous nous glissons dans le lit bien frais. L’un contre l’autre, finalement la fatigue aura raison de nous, nous sommes vidés. 

Par Marilo - Publié dans : Expériences
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