Marilo: Expériences Libertines

Depuis la Duck party du Dream Studio, nous sommes restés en contact via le net avec A. et J. Aussi nous sommes heureux qu’ils acceptent de nous retrouver à la soirée  « Mères Noël » organisée par l’Acanthus. Arrivés au club pour cette soirée, nous sommes immédiatement mis dans l’ambiance. La planète Nous75 nous accueille dès le parking.  Les Mères Noël de la planète font déjà quelques photographies en posant sur une jolie voiture à l’entrée de notre club, hummm…

Pour notre part, le « déguisement » est dans notre « sac de club ». Ma chérie préfère pour cette soirée mixte où nous attendons des amis se présenter en tenue plus sexy, même si sa tenue de Mère Noël l’est tout autant. Nous entrons et nous dirigeons au bar pour l’apéritif. A. et J. arrivent très vite et nous y retrouvent. Ils connaissent déjà quelques membres de la Planète et l’ambiance tourne très vite à la fête dans notre petit groupe. Les réticences de ma chérie à passer son costume de Mère Noël tombent rapidement devant l’insistance de notre Père Noël d’un soir. Elle part donc se changer pour une séance photo.

Le club se remplit peu à peu. Ma chérie nous rejoint avec une coupe de champagne supplémentaire, gratifiant les participantes à cette séance. A. et J. donnent le ton de la soirée : J. se rapproche de ma chérie et parcourt son dos doucement. La soirée s’annonce chaude et festive !

Nous nous dirigeons ensuite au restaurant. Je m’installe à côté de A. et laisse J. tout près de Marie. Nous dînons tout en parlant libertinage. Les plaisanteries vont bon train et vite nous devenons plus bruyants que les membres de la Planète qui dînent non loin de nous. Les plaisanteries s’échangent d’une table à l’autre. Les frôlements s’intensifient…

Le repas est fini, nous montons tous les quatre pour boire un café et une coupe en attendant l’animation prévue ce soir là. Celle-ci  arrive très vite et ma chérie rejoint les quelques mères Noël présentes sur le podium. Pat organise quelques jeux de circonstances pour exhiber nos jolies mères Noël. Je n’ai jamais vu ma chérie aussi à l’aise. Elle participe de bonne grâce aux jeux. Elle rit. A., J. et moi-même ne la lâchons pas du regard.

L’animation se termine et ma chérie nous rejoint avec une nouvelle coupe de champagne : gain attribué aux Mères Noël. A., J. et moi-même prenons également un verre et nous partons nous installer tous les quatre à une grande table au fond de la piste de danse. Je m’installe à côté de A. et J. se place aux côtés de ma belle. Nous sommes directement installés pour changer de partenaires et cela se fait naturellement, nous échangeons des caresses timides tandis que l’ambiance de la salle augmente. Nous nous levons alors pour danser. Tantôt à deux, tantôt à quatre. Nous ne restons jamais loin de A. et J. et les quittons rarement du regard. Nous nous sentons à notre aise auprès de ce couple. Notre excitation ne cesse de croître.

Nous retrouvons finalement notre table autour d’une bouteille de champagne gagnée lors d’une précédente soirée à l’Acanthus. Ma chérie se place de nouveau tout près de J. et celui-ci la prend dans ses bras tandis que j’enserre A. après avoir servi tout le monde.

Très vite, les verres sont abandonnés sur la table pour nous laisser mains et bouches libres. J. caresse ma chérie, l’embrasse, la cajole. Elle lui rend ses câlineries, ses baisers. Le tableau m’excite énormément,  mais malheureusement je ne peux pas en profiter autant que je le souhaiterai. En effet, ma chérie et son partenaire son derrière moi tandis que je caresse A. qui me fait face.

J. parcourt les cuisses de ma chérie et peu à peu écarte celles-ci pour rejoindre son entrejambe. Il est assis sur un petit tabouret face à elle et elle s’offre de plus en plus à ses mains. Il se met alors à genoux entre ses jambes et ajoute des baisers à ses caresses tout au long de ses jambes et de ses cuisses. Ma chérie s’abandonne à lui alors qu’il rapproche sa langue de son sexe, mais elle doit finalement l’arrêter, déçue qu’il ait oublié nos règles interdisant les rapports bucco-génitaux sans protection.

Pendant ce temps, j’échange des caresses avec A. J’effleure sa  peau de mes  lèvres et passe ma main sur tout son corps, très lentement, pour bien apprécier cet instant. Mes caresses s’attardent de plus en plus sur sa poitrine qu’elle gonfle pour aller à la rencontre de mes mains. Ma partenaire n’est pas en reste. Elle m’embrasse très agréablement dans le cou et taquine mon sexe qui se gonfle de plaisir.

J. s’est replacé sur le tabouret, face à Marie, très près d’elle. D’un bras il l’enlace, tandis que son autre main se dirige vers son sexe. Il fait pénétrer un doigt, puis deux dans celui-ci et décide de taquiner son point G. Il stimule celui-ci très fortement ce qui a pour effet de la faire jouir de façon fulgurante. Elle devient comme un jouet sous ses doigts. Il l’a fait jouir plusieurs fois de suite de cette façon sous mes yeux médusés. J’aime voir ma chérie jouir ainsi mais j’éprouve en même temps un petit pincement à la voir apprécier des caresses si « violentes », si différentes de celles que j’aime lui prodiguer. Je sais ce que J. veux obtenir : voir Marie devenir fontaine sous ses doigts, nous en avons en effet déjà parlé à notre précédente rencontre.

A. observe également de plus en plus l’autre couple, elle admire son mari et commente sa performance avec Marie alors que je leur tourne le dos la plupart du temps. J’envie un peu leurs jeux mais je ne ressens pas la même complicité entre A. et moi et j’ai du mal à tenir une érection.

De son côté et malgré son plaisir intense, Marie trouve que nous sommes trop loin l’un de l’autre. Elle commence à être dérangée par cette situation. Elle cherche mon regard, je fais de même. Lorsque nos yeux s’accrochent nous n’avons pas besoin de mots pour comprendre que nous n’aspirons qu’à nous rejoindre un peu. Je fais comprendre à A. notre désir. Nous modifions la place des fauteuils pour être plus proches tous les quatre et reprenons nos câlins. L’excitation revient très vite. Le fait d’être en contact visuel et physique avec ma chérie change tout.  Chacun de nous quatre pense de plus en plus à rejoindre les coins câlins d’autant plus que l’ergonomie des fauteuils de l’Acanthus pour ce genre de jeu n’est pas excellente. Nous, les messieurs, sommes à genou devant nos compagnes depuis un moment et malgré la moquette, nous commençons à souffrir de cette position. Nos partenaires nous ont spécifié ne jamais jouer en club, adeptes qu’ils sont des soirées privées, mais ils nous suivent lorsque nous leur proposons de rechercher un endroit plus confortable.

Nous nous installons sans nous concerter dans un coin câlin bordant la piste de danse. A. annonce qu’elle va chercher des serviettes à l’étage inférieur. J. et moi en profitons pour caresser ma chérie qui jouie de nouveau sous nos quatre mains. A nous rejoint. Nous installons les serviettes et nous allongeons tous les quatre. Marie et J sont enlacés à côtés de nous et je perds pour un temps de vue ce qu’ils font pour apprécier totalement A. Le fait d’être couchés l’un contre l’autre décuple notre excitation et nous multiplions les caresses. J’ai très envie d’elle, j’entends ma chérie qui gémie régulièrement près de nous tandis que A. déboutonne ma chemise et ouvre mon pantalon. Elle embrasse mon torse et dirige peu à peu ses baisers de plus en plus bas. J’hésite un instant à lui rappeler nos règles tant je suis confiant dans le fait que nous en avons suffisamment discuté avant. Mais malheureusement, comme ma chérie un peu plus tôt, je suis obligé de rappeler à ma partenaire, qui  a « oublié », que nous ne pratiquons pas de fellation sans préservatif. Je lui demande alors si elle a ses préservatifs (hypoallergénique), mais elle ne les a pas (ayant oublié que nous sommes échangistes). Pour ma part, je ne m’en suis pas muni non plus car j’avais cru comprendre que nos partenaires étaient réfractaires aux rapports sexuels en club et ne coquinaient qu’en soirées privées. Beaucoup de malentendus donc (il n’est pas si simple de faire le tri parmi toutes les pratiques qu’on peut rencontrer), mais une excitation toujours aussi forte. Sans rompre le contact avec A. nous nous rapprochons de Marie et de J. Les couples se reforment. Chacun allonge sa chacune pour la couvrir de baiser et de caresses. A. frôle doucement Marie pendant que je la lèche. J. pratique également un cunnilingus à sa femme. Nous faisons l’amour côte-à-côte, très proches les uns des autres, continuant à partager regards et attouchements.

Une fois nos ébats terminés. Nous prenons une douche et rejoignons la salle pour prendre un verre et récupérer. La soirée est bien avancée mais la douche nous a remis en forme, nous rejoignons la piste de danse tous les quatre et recommençons rapidement à échanger des caresses excitantes. J. cesse de danser en tenant ma chérie de dos devant lui. Il s’est appuyé devant un poteau à moins qu’il ne soit assis. Il caresse Marie qui est face à moi pendant que je danse devant elle avec A. C’est très excitant. Je me rapproche. A. passe dans mon dos. Elle m’effleure le torse et le sexe à travers mon pantalon. Je continue de m’avancer jusqu'à rejoindre ma chérie et l’embrasser tandis que J., derrière elle, ne cesse de la peloter et A., derrière moi, me caresse. Je passe également ma main derrière moi pour rendre ses attentions à A. et nous dégustons cette situation tous les quatre, quasiment au milieu de la piste de danse de l’Acanthus. Je suis trop excité pour en rester là, alors j’entraine Marie de nouveau dans le coin câlin. A. et J., malheureusement, déclinent notre invitation du regard à nous suivre. Nous faisons donc l’amour tous les deux, sans même être dérangés par les hommes seuls (que d’ailleurs nous avons à peine remarqué ce soir-là). Lorsque nous rejoignons nos amis la soirée est bien avancée. A. et J. nous donnent rendez-vous chez eux afin d’approfondir notre découverte des uns et des autres.