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Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 20:48

Après maintes hésitations, nous nous retrouvons samedi midi sans avoir réservé aucun club pour le soir même. Nous décidons donc de parcourir la liste des clubs parisiens sur le blog de Marilo (Wouah qu’est-ce qu’il est bien fait ce blog ;-)) afin de découvrir lequel pourrait nous accueillir pour le dîner sans réservation. Les noms de clubs s’égrainent et finalement il ne reste que quelques options : des clubs mixtes avec buffet. Parmi eux, l’un d’eux résonne dans nos têtes. Il attise notre curiosité depuis un moment. Mais oserons-nous…

Il faut dire qu’en ce moment, ma chérie est très excitée et, lisant ses pensées, lorsque je lui susurre : « Crois-tu que tu serais capable de nous faire passer une soirée en club gratuite ? », je vois ses yeux briller et un demi sourire (timide) éclairer son visage. Voilà, nous y sommes : ce soir c’est sortie à la Cheminée !

Nous nous préparons et partons un peu tard pour arriver dans un Paris sud immobilisé. Après une bonne demi-heure d’embouteillage dans Paris, les parkings sont complets. A bout de patience, nous jetons notre dévolu, dans une rue voisine, sur une place de livraison. Comme on n’a pas arrêté de tourner autour du club, on prend notre GPS en main pour rallier le but de notre sortie parisienne.

Nous voilà en approche, et déjà un jeune homme cède le passage sur le trottoir à Marie. Nous sommes immédiatement mis dans l’ambiance libertine ! On sonne à la porte d’un air détaché. Le portier nous ouvre en nous décochant un « bonsoir ! comment allez-vous ? » suivi d’embrassades. Il nous happe à l’intérieur et après un tour complet sur nous-mêmes, nous passons aux vestiaires. La charmante femme du patron, nous réserve le même accueil : « bonsoir, on se fait la bise ! » et discrètement, elle demande si nous connaissons le lieu et si nous connaissons des lieux similaires… Elle s’enquière également de savoir comment nous connaissons ce club. Nous ne lui parlons pas de notre péché mignon d’être des globe trotters libertins. Nous lui indiquons en revanche les noms d’amis fêtards qui connaissent déjà ce club. Ils sont là ! Notre planète est belle et grande, on la retrouve partout pour notre plus grand plaisir !

Nous commandons  un apéritif maison au bar et nous dirigeons vers la salle à manger avec nos verres pour retrouver nos connaissances. Il est déjà  21 h passée et que l’on sent bien qu’il est temps de passer au buffet. A notre arrivée dans la salle, la parité couples-hommes semblent respectée.

La salle de restaurant est assez petite avec des tables de bistrot. Nous entrons et repérons nos amis. Nous les saluons et ils nous invitent à nous asseoir près d’eux. Ils viennent de faire connaissance avec un autre couple qui dîne à leur côté. Nos amis nous présentent à la « major dame » des lieux lorsque celle-ci vient nous servir du pain et nous expliquer que nous devons nous servir au buffet. Nous reconnaissant en tant que « débutants » dans ce club, elle souhaite que nous prenions nos aises à tout moment. Elle n’est jamais bien loin et si nous avons un petit souci, nous n’avons qu’à lui faire signe.

la cheminée restau

Nos amis en sont presque au dessert lorsque nous terminons nos apéritifs et allons nous servir. Le cuisinier, très agréable, nous tend des assiettes et nous invite à profiter de ses mets. Le buffet est agréable et varié. Il est simple, mais tout est bon et nous faisons honneur à la cuisine. Sur les tables, une bouteille de vin rouge attend les clients, très agréable (pour le rosé, il faut le demander car il est gardé au frais). A force de papotage, nos amis quittent la table en même temps que nous. Nous nous dirigeons au bar pour déguster un café. Déjà les plaisanteries fusent ! Nous nous sentons à l’aise. Cependant, un coup d’œil autour de nous dévoile de plus en plus d’hommes.

La cheminée buffet

C’est à ce moment de la soirée, déjà bien avancée pour un club qui ferme à 2 h du matin que nous décidons de faire le tour complet du propriétaire. A peine descendu l’escalier en colimaçon qui nous sépare d’une partie des coins câlins, nous sommes suivis. Les hommes déjà « en poste » au sous-sol s’avancent dès que ma belle pose un soulier sur le sol. Elle regarde autour d’elle et annonce à la cantonade : « Bonsoir messieurs, ne vous pressez pas, nous ne faisons que visiter pour l’instant ! ». Immédiatement, ils nous laissent le passage.

Le club est très joli avec des sanitaires très « déco » aux deux étages. Tout est propre. Le lieu a un cachet particulier, un peu à l’image de son accueil. Nous retournons au bar pour partager un digestif. Certains coins sont déjà bien occupés. Nous retrouvons nos camarades qui ne tardent pas à s’éclipser. Peu de temps après, nous rejoignons les alcôves. Nos comparses sont occupés dans la chambrette isolée par le « mickey hole », des hommes les regardent en se flattant énergiquement. Nous redescendons. Un couple est assis, des hommes également. C’est assez calme. Nous nous asseyons un moment. Nous papotons avec le couple présent qui après les civilités d’usage, nous donne quelques conseils concernant les us et coutumes de l’endroit. Il est assez drôle de voir des couples se donner les recommandations d’usage en soirée mixte à voix haute et intelligible, entourés des hommes. Ceux-ci sont là, prêts, dans l’attente.

glory la cheminée

Le calme nous pousse à remonter au bar. Ce soir-là, il y a 11 couples. C’est très peu. Nos amis, habitués du vendredi, nous ont indiqué qu’il y avait vraiment très peu de monde ce soir. Pourtant les hommes continuent de rentrer. Nous prenons un verre et allons nous installer tout prêt de la chambrette dans le cas où elle se libèrerait. Un rideau d’hommes nous voile les quelques interstices qui nous permettraient de voir ce qui se passe dans la chambrette alors nous nous asseyons sur une banquette près de là dans l’attente de la libération du seul espace qui nous parait possible pour coquiner.

A peine sommes nous installés qu’un jeune garçon vient s’asseoir à nos côtés. Il nous plaît. Je commence à caresser ma chérie et il me seconde très rapidement dans ma tâche. Voilà, mon amour qui profite des caresses de deux hommes devant le regard médusé d’un certain nombre d’autres. Un couple se fraye un passage jusqu’à nous. La dame se penchant vers Marie, j’arrête sa main et la pose sur moi. Un sourire échangé, quelques mots, et me voilà, une main sur ma chérie, l’autre parcourant les cuisses et les fesses de la dame pendant que cette dernière s’occupe de son homme. Finalement, le couple se détache de nous, nous stoppons également avec le garçon car nous nous sentons mal installés. Nous rejoignons le « mickey hole » pour jouer les voyeurs. Immédiatement, ma chérie est assaillie de mains. Elles la parcourent, l’excite. Mais je préfère me retirer, entrainant ma chérie.

Encore un petit tour par le bar où il y a beaucoup de monde. Rires et plaisanteries. Un verre plus tard, nous décidons de redescendre. Immédiatement, nous sommes suivis par les hommes et les couples présents au bar. Une chenille énorme se constitue à notre suite dont l’apogée se situe dans la grande salle où, en regardant dans le miroir énorme du mur du fond, nous pouvons admirer la foule derrière nous. Nous nous asseyons sur le grand canapé, entourés d’un couple et d’homme. Nous sentons les regards posés sur nous, dans l’attente…

Ma chérie, très amusée par cette chenille que nous menions, mais également intimidée par les regards appuyés, préfère quitter les lieux. L’ambiance est effectivement très chaude. Elle aime, mais ne se sent pas tout à fait à la hauteur de certaines de ces dames. Retour auprès du bar où la femme du patron laisse fuser des plaisanteries grivoises, tellement bien senties ! Cette dernière n’oublie pas de rappeler pourquoi nous sommes là : « oui ! il y a des hommes, mais nous avons ce soir des femmes très jolies qui sauront s’occuper d’eux ! ». Le clin d’œil à ma chérie a été reçu…

C’est reparti pour un tour de chenille ! Ca fonctionne à tous les coups. Deux couples s’installent sur le grand canapé, tout de suite entourés d’une dizaine d’hommes. Nous restons un moment à regarder. Très vite entourés, il est difficile de se jeter dans l’arène. Nous remontons. L’excitation est là. Mais ma chérie a quelques difficultés à passer le pas. Je la prends par la main : « viens, descendons, j’ai envie ». Elle se laisse conduire. Je l’installe sur le grand canapé, vide. Les hommes s’assoient tout autour. Immédiatement, je l’entreprends. Elle se laisse aller sous mes caresses. A peine quelques secondes plus tard, nous sommes en contact avec plusieurs hommes. Deux hommes la cajolent quand je me porte vers sa poitrine que j’ai la surprise de trouver déjà entreprise par une main ! Cette dernière appartient à un homme qui a su s’immiscer derrière moi.

la cheminée grand coin

Les hommes autour de nous aident mon amour à s’offrir en lui installant les jambes sur les genoux de candidats. Ma belle bichonne deux hommes de ses mains agiles pendant que je la fais jouir en lui titillant le clitoris et que d’autres hommes font courir leurs mains sur ses jambes. Les caresses se prolongent au-delà de notre habitude. Elle attend… Je donne le signale à l’homme qui est tout prêt d’elle, un jeune noir. Il bande, il est déjà encapuchonné d’un préservatif, je le regarde et lui dit : « Vas-y, prends là ». Il se place face à elle et la pénètre immédiatement. Sous ses assauts, elle halète et excite son monde. Très vite, il jouie et laisse sa place au suivant.

Celui-ci, un jeune beur, paraît très empressé. Il se place devant elle et la prend ardemment. Mais je suis obligé de le rappeler à l’ordre : il se comporte comme s’il était seul avec ma compagne, s’étalant de tout son long et empêchant les autres hommes d’avoir accès à son corps. Il se redresse et jouie à son tour. Pendant ce temps, ma belle me caresse, me lèche. Je profite du spectacle, tout en gérant la file d’attente.

Voici le suivant qui s’avance. Il attrape les jambes de Marie et s’enfourne en elle. Elle gémit de plus belle. Elle sent un doigt venir chatouiller son anus. C’est à se demander si ces messieurs ne sont pas contorsionnistes pour arriver à s’immiscer dans le moindre interstice laissé par leurs congénères afin d’atteindre la chair tant convoitée. Le bougre en place se donne à fond. Mais nous entendons déjà les annonces audios qui annoncent la fermeture du club. Personne n’ose y prêter attention et nous profitons tous de la situation. Finalement, la « major dame » décide de venir nous déloger : « Messieurs, dame, il est temps de partir ! ». C’est le signal. Ma chérie tapote l’homme qui est en train de la prendre. Signe qui indique qu’il faut se retirer. L’homme se relève donc, quelque peu piteux de s’arrêter en si bon train. Le suivant s’avance tout de même. Je le repousse. C’est fini. Il est trop tard.

Sous les remerciements, nous nous rhabillons et regagnons le bar. Nous y retrouvons nos amis. Nous regrettons de s’être lancés trop prêts de la fermeture et de ne pas avoir été au bout de notre plaisir. Nous nous acquittons des 10 euros de vestiaire. Pour le reste, c’est à notre discrétion puisque nous sommes reconnus en tant que « couple échangiste ».

Nous voilà sur le trottoir avec nos amis. Au fait, où est la voiture ? Le nom de la rue ? la direction ? Cette soirée nous a totalement déconnectés… Vivement la prochaine.

Par Marilo - Publié dans : Expériences
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