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Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 22:49

Avec les soirées tropicales et années 80, nous avions gouté et apprécié les soirées coquines costumées. Nous n’avons donc pas résisté à aller à la soirée uniforme. D’autant plus que notre idée de costume nous excitait d’avance : un curé et une bonne-sœur.

Comme d’habitude, nous arrivons en tenue club (sexy pour Marie et chic pour moi), le temps de se mettre dans l’ambiance en prenant un apéritif au bar et de manger. Ensuite, on repasse au vestiaire pour se transformer et faire notre deuxième entrée. Beaucoup de Nous75 sont au bar et Pat nous présente à nouveau comme « le curé et la bonne sœur ». Nos costumes lui plaisent beaucoup puisqu’il aura encore, plusieurs mois plus tard, du mal à penser à nous autrement. Il y a une autre none, des maîtresses d’école, des policiers… l’ambiance promet d’être bonne !




Etre en soutane est très agréable pour moi. Celle-ci est d’un tissu satiné très doux et bien sûr je la porte sans dessous. Ma chérie adore ça – elle en profite pour tout faire pour me mettre en érection pendant que nous dansons en multipliant les attouchements, elle est aidée par les frottements agréables du tissu. Elle ondule contre moi et n’hésite pas à me caresser le sexe à travers le costume.




Nous avons rapidement envi d’aller plus loin et lorsque nous nous asseyons ma chérie en profite pour passer sa main sous ma soutane. Je n’ai jamais vu de bonne-sœur aussi effrontée. Et cela m’excite énormément. Pour ma part, sûrement pas pour la dignité du costume mais plutôt par timidité, je me refuse à ses assauts dans la grande salle. Nous décidons donc de rejoindre les coins câlins.

Nous nous rendons directement au sous-sol. Nous avons envi de ce cadre monacal pour profiter comme il se doit de nos déguisements et pouvoir jouir ensemble d’une fellation blasphématoire. Nous nous installons dans la petite cellule qui est équipée d’une porte à barreaux de fer qui grince.


Je m’allonge sur la banquette. « Ma sœur » s’assied à cheval sur mes chevilles et fait glisser ses mains à partir de mes mollets jusqu’à mes fesses en remontant lentement la soutane. Je suis en érection depuis déjà longtemps, elle y a veillé. Elle met alors mon sexe dans sa bouche et commence à l’enrouler de sa langue. Ma chérie multiplie les bisous sur mon gland, les aspirations et les longs va-et-vient. Je la sens décidée mais je veux résister et ne pas la laisser faire car c’est trop bon et je suis trop excité pour pouvoir tenir suffisamment et la satisfaire elle aussi. Elle refuse catégoriquement toutes mes tentatives en renforçant encore plus si c’est possible le plaisir qu’elle me procure déjà pour me faire craquer. Je me laisse aller alors pour lui donner ce qu’elle veut vraiment à ce moment-là : mon abandon. La tête du côté de la porte, je me laisse sucer par ma chérie qui déploie tous ses talents. Je n’en peux plus, je jouie. Elle avale tout mon sperme avec bonheur et va chercher jusqu’aux dernières gouttes en m’aspirant jusqu’à l’ultime spasme. Nous nous embrassons alors tendrement.




Nous remontons dans la salle pour boire un verre et que je puisse me remettre de mes émotions. Ma chérie est toujours aussi excitée si ce n’est plus encore, alors que moi, je suis bon à mettre au lit... Mais elle sait y faire et à force de danses érotiques, nous avons de nouveau besoin de nous câliner. Nous retournons donc aux coins câlins.

Le seul emplacement de libre est la cellule équipée d’une balançoire. Nous nous regardons en souriant et, gourmands, décidons d’essayer l’engin. Ma chérie prend place et je dispose les lanières de cuir autour de ses chevilles afin qu’elle m’offre son sexe fraîchement épilé pour la soirée. Je la lèche longuement à mon tour pour tenter d’apaiser son excitation. Mais ce n’est pas ce dont elle a envi : elle veut jouir vite – que je la prenne fortement. Je lève ma soutane pour la satisfaire et la pénétrer mais la position de ma chérie sur la chaise ne me le permet pas. Nous essayons de nous dépêtrer de cette situation mais la difficulté vient à bout de mon érection et nous renonçons.

Tous les coins câlins sont toujours occupés et ma chérie est déçue que je ne bande plus alors qu’elle a encore envie de nos longues étreintes amoureuses. Nous décidons donc de partir sans attendre pour retrouver notre lit rassurant.




A peine en voiture, je la caresse et elle jouie tout de suite, mais je sens qu’elle ne peut être entièrement satisfaite que par une pénétration. Le chemin est long, trop long, alors je cherche une possibilité de faire une halte avant d’arriver. Enfin, je vois une petite rue qui semble mener vers une zone industrielle où il n’y aura probablement personne, je la prends, et tourne tout de suite dans une rue très sombre avec au fond ce qui semble être une ferme.

J’éteins le moteur et les phares et nous commençons à nous caresser mutuellement. Ma chérie a déboutonné mon pantalon et sorti mon sexe. Les fauteuils sont repoussés au maximum vers l’arrière et le sien est totalement incliné. Je m’apprête à la rejoindre sur celui-ci lorsqu’une voiture arrive derrière nous, nous dépasse et va se garer un peu plus loin. Personne n’en descend, on se demande ce qui se passe tout en continuant nos câlins. La voiture redémarre alors, fait demi-tour et vient juste devant nous – tous phares allumés. Les deux hommes qui l’occupent nous regardent depuis leur voiture.

Probablement n’était ce que des voyeurs qui auraient apprécié que nous continuions, mais ce n’était pas dans mes cordes… Nous repartons donc aussitôt – sans plus de pause pour finir la nuit dans notre lit où je pourrai enfin satisfaire comme elle le souhaite ma chérie.

Par Marilo - Publié dans : Expériences
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