Marilo: Expériences Libertines

Après notre première expérience début novembre, nous avons mis du temps à intégrer à notre esprit toutes les images de la soirée. Tout nous paraissait comme dans un rêve étrange que nous ne voulions pas arrêter en y retournant trop vite. Nous étions partagés entre le désir de recommencer une expérience très excitante pour aller plus loin, et la peur qu’y retourner n’efface ces sensations de la première fois. Mais arrivé en décembre le besoin de sortir à nouveau s’est fait de plus en plus pressant. Nous souhaitions toujours sortir seuls et à l’Acanthus en espérant ainsi s’habituer au lieu pour y être plus à l’aise.

Nous avions choisi le 29 décembre – entre les soirées spéciales parce que nous craignions de nous retrouver trop inexpérimentés parmi les pros en sortant pour la Saint-Sylvestre et nous pensions ainsi retrouver l’Acanthus de notre précédente soirée.

Il n’en fut rien. Dès notre arrivée, nous sommes surpris par le peu de monde présent ce jour là. Nous prenons un apéritif au bar et  mangeons ensuite seuls.

Une fois remontés dans la salle, nous nous installons autour d’une petite table ronde et je vais chercher une petite coupe de champagne pour ma chérie. Contrairement à la première soirée pendant laquelle il n’était pas question que je la lâche d’une semelle, elle est plus à l’aise. Moins de monde présente cet avantage de pouvoir mieux observer les gens et nous sommes stupéfaits de voir deux jeunes filles qui nous paraissent trop jeunes pour être là. Non loin de nous un couple nous observe régulièrement.

Après notre verre, nous faisons un tour aux coins câlins mais ceux-ci sont vides. En dehors des deux jeunes filles qui discutent allongées sur le grand matelas du sous-sol. Nous remontons rapidement. Déçus, nous décidons de prendre un autre verre dans les coins câlins autour de la salle de danse. Nous sommes isolés tous les deux et forcément ça nous donne des idées. On commence à se caresser. L’homme du couple qui nous observait s’est déplacé pour nous mater. Marie est assise et je glisse ma main entre ses jambes pour lui titiller le clitoris. Elle écarte les jambes et j’ai tout loisir de m’occuper d’elle sous le regard satisfait de l’homme qui se caresse en même temps. Marie jouie rapidement. Nous jetons un regard complice au monsieur et finissons notre verre.

Nous dansons ensuite pour nous remettre de ces premières émotions. Et nous retournons voir ce qui se passe en bas. Sur le grand matelas du sous-sol, deux couples font l’amour côte-à-côte - dont celui qui a montré plusieurs signes d’attirance à notre égard. Nous nous installons à leur côté. Je m’allonge sur le matelas, Marie se couche près de moi pour me sucer au même rythme que notre voisine. Cette sensation d’élargir le plaisir de notre union dans un groupe qui fait l’amour de concert est très excitante. Un homme et deux femmes viennent s’installer à côté de nous et entrent dans le côte-à-côte général. Personne ne se touche, sauf  inadvertance (forcément on est un peu serré), et personne ne se parle. On trouve cette sensation superbe. Pris dans l’excitation, nous n’arrivons plus à attendre nos voisins dont la femme fait toujours une fellation et nous enchaînons les positions et les caresses. On jouie après avoir fait longuement l’amour.

Nous avons finalement finit avant tout le monde. C’est le moment de se relever, de se rhabiller. C’est un moment étrange, même si personne ne fait vraiment attention à nous si ce n’est l’homme et les deux femmes qui se mettent un peu plus à leur aise avec notre départ en occupant l’espace libéré.

Nous retournons dans la salle, satisfaits, Marie a encore le feu aux joues. Nous sommes prêts à partir pour savourer ensemble cette soirée.