Notre précédente soirée date déjà d’un mois et nous sommes en manque, piqués par le virus de ces fêtes érotiques. La Duck au Quai 17 se rapproche et nous inquiète un peu (ce sera notre première soirée mixte). Alors, nous ressentons le besoin de retourner à l’Acanthus.
C’est une soirée gigolo : pas de déguisement, mais élégance de rigueur ! Je serai donc en costume classique et Marie a opté pour une
robe noire classique et très courte, très excitante aussi, laissant apparaitre le haut de ses bas résilles. Son long manteau masque cette tenue hors saison pour rejoindre la voiture que j’ai
amenée devant la porte de la maison.
Nous ne sommes que sur le trajet et sommes déjà très excités. La robe excessivement courte me donne envie de caresser ma chérie pendant le trajet et nous avons hâte d’arriver. Nous nous garons à
notre place habituelle et faisons l’itinéraire désormais classique : accueil, vestiaires, toilettes et bar où nous prenons notre apéritif : Gin Tonic pour Madame, Whisky pour Monsieur.
Tout en buvant, nous observons la salle en regardant les gens arrivés et en se demandant comment sera la soirée. Il est fréquent à ce moment là que nous ayons l’impression qu’il n’y aura pas
grand monde et que la soirée risque d’être morte, tant est grand le contraste avec la suite. Nous aimons en effet arriver tôt, prendre notre temps au bar avant de passer à table et voir
l’ambiance se créer en même temps qu’elle nous envahie pour nous faire perdre notre contrôle.
Après avoir salué quelques membres de la planète Nous75 que nous reconnaissons, nous passons à table. Et revenons prendre notre petite coupe
dans la salle qui se rempli rapidement. La planète est déchainée ce soir pour la soirée gigolo à laquelle beaucoup participent. Pour ma part, je passe mon tour – ne sachant pas à quoi m’attendre
alors que nos règles sont toujours aussi strictes. Le club à distribué des billets aux femmes à l’entrée et les hommes doivent gagner ceux-ci en répondant à leurs envies, toutes leurs envies… Pat
rameute les participants, il insiste un peu auprès de moi mais je décline l’offre.
Le jeu commence doucement, avec un début de strip-tease. Les hommes enlèvent le haut. Certains sont très doués ce qui rend l’exercice torride. Nous nous sommes installés en première ligne pour ne
rien manquer du spectacle qui commence déjà à exciter sérieusement Marie. Les gages s’enchaînent : ils doivent ensuite danser avec un maximum de demoiselles, récupérer leurs chaussures, leur
culotte… Nous pensons la cerise sur le gâteau arrivée : c’est enfin le strip-tease intégral. Mais non, l’escalade continue et ils doivent faire jouir leur dame avec un cunnilingus magistral
sur le bar. C’est vite torride et maintenant je suis aussi excité que ma chérie. A peine le jeu terminé, on se dirige donc vers les coins câlins du rez-de-chaussée mais ils sont complets. Idem au
sous-sol. Déçus et loin d’être calmés, nous remontons danser.
J’aime danser avec ma chérie en robe très courte parce que cela me permet de lui découvrir et caresser les fesses et ce, malgré ses légères
protestations... Tout ceci n’est pas fait pour nous calmer, même si elle refuse de me confier sa culotte. En dansant, nous avons constaté que le coin câlin derrière le rideau de chaîne est libre
et nous sommes d’accord pour y aller. Jusque là, nous avions été impressionnés par ce lieu donnant directement sur la salle, comme si le fait de s’y rendre était une invitation
générale.
Nous nous câlinons et peu à peu le monde qui nous entoure n’existe plus. La musique est enivrante également. Je me laisse déshabiller par ma chérie, totalement. Elle me suce merveilleusement
bien, puis viens sur moi. Je lui enlève sa petite robe pendant qu’elle me chevauche lorsque le rideau s’écarte. Deux jolies filles de nous75 nous ont rejoints et s’installent sur l’autre
banquette. Je les regarde se donner du plaisir dans un 69 tout en continuant à savourer les vas et viens de ma chérie sur moi. Elle sent mon excitation à son comble et se laisse aller à son tour.
La musique nous isole du monde et ma chérie peut crier comme à la maison. A côté de nous une des femmes jouie également. J’explose à mon tour.
Encore une merveilleuse soirée qui s’achève. Nous ne sommes jamais déçus de nos escapades dans notre « palais du plaisir ». Nous
rentrons des images érotiques plein la tête et avec la hâte d’aller à la Duck au Quai 17.
